Parade de la St-jean !

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mardi 27 septembre 2011

La beauté d'une femme, ça s'éduque !






Une nouvelle étude démontre que les filles critiquent leur propre beauté dès l’âge de 14 ans
Des Canadiennes accomplies se réunissent pour discuter de la fascinante étude mondiale de Dove sur la beauté
TORONTO, le 23 mars 2011 – Une nouvelle étude mondiale menée par Dove auprès de femmes âgées de 10 à 64 ans révèle que l’esprit critique des filles concernant leur beauté commence à miner leur estime de soi dès l’âge de 14 ans. L'étude révèle que seulement 4% des femmes dans le monde se considèrent comme belles. L’étude suggère par contre que les modèles de rôle positifs pourraient aider les jeunes filles à composer avec la pression liée à la beauté, afin qu’elles puissent percevoir la beauté comme une source de confiance en soi, et non d’anxiété.

L’étude intitulée La réelle vérité à propos de la beauté de Dove démontre qu’à l’âge de 14 ans, plus de la moitié (55 %) des filles canadiennes se sentent déjà poussées à être belles. À l’âge de 29 ans, ce nombre s’élève à 96 %. Après avoir atteint l’âge de 14 ans, les filles deviennent de plus en plus critiques de leur propre beauté. Alors que seulement 10 % des filles de 10 à 14 ans sentent le besoin d’être belles, ce pourcentage grimpe à 59 % chez les femmes de 18 à 64 ans.

L’étude a été dévoilée aujourd’hui dans le cadre de l’événement La Beauté vue par Dove, qui réunissait un groupe exceptionnel de femmes aux expériences, aux connaissances et aux opinions variées pour une discussion conviviale et captivante sur les questions de beauté et d’estime de soi. Le panel était formé des invitées suivantes:

• Jeanne Beker, animatrice et productrice, Fashion Television
• Shelley-Ann Brown, médaille d’argent aux Olympiques 2010, bobsleigh à deux
• Geneviève Borne, animatrice et mannequin
• Sarah Taylor, VJ, MuchMusic
• Lisa Naylor, experte-conseil sur l’estime de soi

L’étude La réelle vérité à propos de la beauté indique que, bien que les pressions concernant la beauté aient des conséquences pour les jeunes filles, le fait d’avoir des modèles de rôle positifs dans leur vie pourrait en limiter les effets nocifs:

• Près de la moitié (47 %) des filles canadiennes âgées de 10 à 17 ans ont évité les activités sociales comme les sorties à la plage, la participation à des activités physiques, aller à l’école ou exprimer une opinion parce qu’elles ne sont pas à l’aise quant à leur apparence.
• Les filles sont plus aptes à éviter les activités sociales si elles se sentent forcées d’être belles. À l’échelle mondiale, 70 % des filles qui ont l’impression que leurs « amis » exercent une pression pour qu’elles soient belles ont évité des activités sociales, comparativement à seulement 46 % des filles qui ne ressentent aucune obligation d’être belles.
• Alors que 67 % des filles sans modèle de rôle disent qu’elles ont évité certaines activités sociales parce qu’elles ne sont pas à l’aise quant à leur apparence, seulement 57 % des filles bénéficiant d’un modèle de rôle en disent autant.
• Alors que 13 % des filles canadiennes (de 10 à 14 ans) se sentent à l’aise de dire qu’elles sont belles, ce nombre tombe à 6 % chez les filles âgées de 15 à 17 ans, et à seulement 3 % chez les femmes (de 18 à 64 ans); le pourcentage de filles qui se disent sûres d’elles passe de 76 % chez les filles de 10 à 14 ans à seulement 56 % chez les adolescentes de 15 à 17 ans.



Aidont nos filles, amies, mères et grand-mères à sentir belle en leur disant tout simplement et en montrant l'exemple c'est-à-dire en se sentant belle nous même.


Pour vous inpirer,  voici une petite citation de victor hugo : 
 


 

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